[...] Philippe Tailliez, another pioneer of underwater exploration, has been cherishing this idea ever since his first dives in 1937 with Jacques-Yves Cousteau. He has worked out an outline Archipelaego Project and in 1981 founded an association whose aim is "the design, construction, and experimentation of a floating inhabited archipelago extending from the heights to the depths, by means of spatial and underwater structures. Such an archipelago, dynamically anchored to the seabed, is being planned for the Pacific Ocean, outside those areas which have already been or are being appropriated by the nations of the planet for economic exploitation."
Described as "a symbol and affirmation of the common marine and spatial future of the human race, in line with the concept of the common heritage of humanity", the Archipelaego Project was favourably received by leading divers and astronauts who met at Miami in 1985, in Tunis in 1986 and in Japan in 1990, under the auspices of the World Confederation of Underwater Activities (CMAS). It is still no more than a project, perhaps even a pipe-dream. But it is not too late, nor perhaps too soon, to start to build this "last shore". [...]
Messages
1. > Archipelaego, 30 octobre 2002, 22:23, par Thomas Tailliez
Vos questions...
1. > Archipelaego, 25 mai 2003, 15:47, par felix
Connaissez-vous le le Parlement International des Ecrivains et le Réseau des Villes Refuges, et la revue autodafé ? Reportez-vous au site suivant : http://www.autodafe.org/fr/ipw/ipw.htm
Le Projet Archipelaego, pensé par Philippe, n’est-ce pas le parlement international des personnes qui souhaitent construire leur propre identité par l’imagination d’un sixième continent ?
2. > Archipelaego, 21 avril 2006, 13:49, par Felix
Concours Archipelaego : lien vers le site du festival mondial de l’image sous-marine.
Voir en ligne : http://relationsmedia.photographie....
2. "Archipelaego" un concours pour l’avenir, 25 août 2003, 00:32, par T.Tailliez
30ème FESTIVAL MONDIAL DE L’IMAGE SOUS-MARINE
Préambule
"Archipelaego" un concours pour l’avenir
A l’occasion de son 30e anniversaire, le Festival Mondial de l’image sous-marine d’Antibes a voulu marquer à sa façon le nouvel envol qu’il ambitionne de prendre en ce début de millénaire, placé sous le signe de l’eau. Et, tout en valorisant son histoire, se tournant résolument vers le futur, le Festival a souhaité ouvrir une porte sur l’imaginaire tout en redonnant aux créatifs le goà »t de la prospective.
Par ce nouveau concours, qui illustrera une fois encore la vocation du Festival à être une pépinière de talents, ce dernier fera en sorte de repositionner l’homme par rapport à son environnement planétaire et, plus particulièrement, vis à vis du domaine marin, en réveillant l’utopie, en redonnant de la valeur au rêve, en suscitant des vocations et des passions et, finalement, en amenant les jeunes générations à tisser les liens de leur destin.
Dessiner les contours d’un futur audacieux et visionnaire tout en s’appuyant sur le vécu ancestral dans les rapports de l’homme et de la mer.
Construire les bases de nos lendemains en continuité avec les acquis du passé.
Retrouver ce sens de l’équilibre des peuples de la mer et des hommes qui ont consacré leur vie à l’océan.
Voilà en quelques idées forces le but que s’est fixé ce concours.
Car nous n’avons fait qu’effleurer ce domaine maritime à qui nous devons tout et nous ne sommes, en définitive, qu’aux portes de cet espace infini. Même avancés, nous n’en sommes encore qu’aux balbutiements des techniques et des instruments permettant la pénétration de l’homme sous l’eau et le scaphandre d’aujourd’hui sera sans nul doute rangé, demain, au rayon des armures du moyen âge.
Ce concours aura donc aussi pour but de bien faire comprendre aux jeunes génération que nous sommes aux frontières d’un espace nouveau qui s’offre à eux comme à l’humanité toute entière.
C’est dans une optique de conquête de cet espace nouveau que nous aurons besoin, demain, de tous ces talents créatifs qui offriront à l’homme une meilleure intégration dans ce monde fluide tout en valorisant le respect du domaine maritime. Nous devons donc désormais penser en mérien et créer une nouvelle civilisation à travers le monde, semblable à celle des marins d’autrefois avec ses cultures et ses gestes, ses modes de vie et ses traditions propres.
Nous devons nous montrer dignes, enfin, de l’héritage de Jules Verne et de tous ses hommes qui, dans sa lignée, n’ont eu de cesse d’imaginer un futur à la dimension de ce monde inconnu qu’est l’océan, générant sans cesse de nouvelles passions et de nouveaux espoirs qui ont finalement permis le développement des connaissances et de l’exploitation des océans.
C’est sous le regard de ces hommes, héritiers de Némo, Le Prieur, Tailliez, Cousteau, Delauze, Picard, Walsh etc… que nous vous convions à la plus folle des aventures.
Devenez les bâtisseurs du futur et les visionnaires de demain en laissant libre cours à votre imaginaire et en regardant le futur s’édifier sous vos yeux, grâce à votre génie créateur.
Voir en ligne : Source, Règlement et Bulletin d’inscription au concours (Festival Mondial de l’Image Sous Marine)
3. The four pillars of Neptune’s temple - relation of the oceans to humans, 25 juin 2007, 23:47, par Felix Tailliez
[...] Philippe Tailliez, another pioneer of underwater exploration, has been cherishing this idea ever since his first dives in 1937 with Jacques-Yves Cousteau. He has worked out an outline Archipelaego Project and in 1981 founded an association whose aim is "the design, construction, and experimentation of a floating inhabited archipelago extending from the heights to the depths, by means of spatial and underwater structures. Such an archipelago, dynamically anchored to the seabed, is being planned for the Pacific Ocean, outside those areas which have already been or are being appropriated by the nations of the planet for economic exploitation."
Described as "a symbol and affirmation of the common marine and spatial future of the human race, in line with the concept of the common heritage of humanity", the Archipelaego Project was favourably received by leading divers and astronauts who met at Miami in 1985, in Tunis in 1986 and in Japan in 1990, under the auspices of the World Confederation of Underwater Activities (CMAS). It is still no more than a project, perhaps even a pipe-dream. But it is not too late, nor perhaps too soon, to start to build this "last shore". [...]
Voir en ligne : Extrait de l’article "The four pillars of Neptune’s temple"